Aujourd’hui, de nombreuses actions convergent en vue de valoriser les pratiques soutenables : les ONG et les mouvements citoyens demandent de réduire ou d’éliminer les impacts négatifs des activités et plus de transparence, les entreprises apprennent à renseigner leurs empreintes écologiques, les stratégies de planification publique poussent pour que l’économie soit conditionnée aux limites planétaires.
De même, les réglementations, avec en Europe la taxonomie « verte » et la directive sur la soutenabilité (CSRD, Corporate Sustainability Reporting Directive, applicable en 2024 pour l’exercice 2023), organisent l’alignement des entreprises aux trajectoires de l’Accord de Paris. Les investissements commencent à être pensés sur le long terme. Ces logiques nouvelles sont soutenues depuis des mois par une cohorte de dirigeants d’entreprises.
La planification écologique est annoncée ! Selon Jean-Pisani-Ferry, conseiller du Premier ministre, « nous entrons dans une économie d’externalités, c’est-à-dire percutée par des impératifs extérieurs, comme le climat, la santé, la biodiversité, la rareté ou la souveraineté ». Ainsi, nos sociétés, et nos modèles de production et de consommation, sont en train de changer de référentiel de valeurs, passant d’une mesure peu informative du PIB – et globalement absurde, rappelle l’économiste Timothée Parrique dans « Ralentir ou périr. L’économie de la décroissance » – à la mesure et la prise en compte de performances environnementales et sociales.
Dans cette bascule, il est primordial d’apprivoiser les nouveaux champs de forces. C’est pourquoi Tek4life propose aux dirigeants, responsables financiers, chargés de développement durable, managers de la transition, etc., de se former à la prise en compte des impacts environnementaux et sociaux pour piloter durablement les organisations.
Pour une seconde saison, Tek4life s’allie au Cabinet Kairos pour déployer une formation aux comptabilités écologiques